Si c’est un problème crucial pour votre enfant qui vous envoie (dyslexie, retard de langage, grande difficulté de communication etc…),

Si c’est un problème crucial pour votre enfant qui vous envoie (dyslexie, retard de langage, grande difficulté de communication etc…),

1) Le développement du langage

Vous constatez que malgré tout ce que vous avez entrepris depuis de nombreuses années n’a pas abouti à un résultat probant : votre médecin vous a envoyé chez le spécialiste de l’audition, c’est-à-dire l’ORL, qui a parfois décelé des otites séreuses et fait des paracentèses, mais ces otites séreuses sont revenues et il a fallu faire d’autres interventions etc…

Le langage étant affecté, vous êtes passé à l’orthophonie pour un résultat bien maigre, la psychologue est intervenue également, le psychiatre a également été consulté.

Maintenant votre enfant a 9-10 ans, la lecture reste très approximative. Vous êtes inquiet devant ce problème. Certains ont même fait faire à leur enfant des tests d’intelligence dont la conclusion a été positive. Alors ?

Mais la fonction la plus importante n’a pas été contrôlée, c’est son écoute ! Et notre bilan vérifie cette capacité.

Il faut bien séparer l’écoute de l’audition.

Entendre et écouter c’est comme voir et vouloir voir.

Notre but : donner à ceux qui viennent nous voir le désir de communiquer.

Les processus de la communication trouvant leur origine au départ de la vie fœtale et cheminant en parallèle avec le développement de l’individu, les différentes phases de la programmation sonique dispensée à travers l’Oreille

2) La programmation sonique

  • L’adaptation à l’écoute fœtale
  • L’écoute intra-utérine (période prénatale)
  • L’accouchement sonique (naissance)
  • La période pré-linguistique (période post-natale)
  • La structuration du langage.

Les trois premières phases sont réalisées avec la voix maternelle et/ou avec des séquences musicales (plus ou moins filtrées ou densifiées), des chants (du type grégorien) et des comptines.

La structuration du langage se fait à l’aide de phonèmes particulièrement riches en fréquences aiguës (sifflantes) qui sont progressivement filtrées de 500 en 500 Hz jusqu’à 7 à 8’000 Hz. Textes, séquences chantées et lectures consolident cette dernière phase.

3) La fonction de charge

L’appareil auditif, lorsqu’il fonctionne bien, a un effet de charge sur le cortex. Dans cette perspective, il adopte une posture qui permet d’utiliser au maximum la gerbe haute (harmoniques élevés) des sons qu’il perçoit, en même temps qu’il assure la verticalité, source la plus importante de stimulation par le jeu antigravitationnel.

Pour ce faire, la méthode APP utilise, en plus du simulateur électronique, des enregistrements de haute qualité permettant de conserver la gerbe des harmoniques élevées.

Par ailleurs, des séquences musicales, très soigneusement sélectionnées suite à des années d’études, font intervenir des sons passant dans la zone de charge de l’oreille humaine.

Les œuvres pour violon de Mozart, avec sélection de qualité au niveau de l’enregistrement du disque, de l’interprète, du chef d’orchestre, etc. et certains chants grégoriens, sont utilisés pour renforcer la fonction de charge. De plus, les œuvres de Mozart sont, pour certaines bandes, filtrées au-delà de 12 000 Hz afin de recréer l’univers sonore intra-utérin (période fœtale) et d’accentuer la valeur dynamisante des aigus.

L’appareil auditif, lorsqu’il fonctionne bien, a un effet de charge sur le cortex. Dans cette perspective, il adopte une posture qui permet d’utiliser au maximum la gerbe haute (harmoniques élevés) des sons qu’il perçoit, en même temps qu’il assure la verticalité, source la plus importante de stimulation par le jeu antigravitationnel.

4) La relation avec la mère

Les processus de la communication de l’être avec son environnement dépendant de la relation primordiale (celle du fœtus avec sa mère au cours de l’évolution intra-utérine), il s’avère nécessaire, voire indispensable, d’engager la mère dans un même cheminement et d’utiliser sa voix pour déclencher – ou redéclencher – chez l’enfant le désir de communiquer, donc de parler, de lire et d’écrire.

L’enregistrement de la voix maternelle, la réalisation d’un filtrage à 12’000 Hz pour recréer l’écoute intra-utérine et d’un  » accouchement sonique  » avec défiltrage progressif (passage de l’écoute liquidienne à l’écoute aérienne) constituent des éléments très importants dans le parcours sous oreille électronique de la cure Tomatis.

De plus, la mère doit, en même temps que son enfant, bénéficier de séances sous simulateur électronique. Cette démarche permet de la dynamiser en augmentant son potentiel cortical et en lui donnant ainsi la possibilité d’assumer, par l’éveil de sa conscience, le problème qui est à l’origine du trouble d’apprentissage.

Les sons filtrés sous stimulateur électronique agissant sur des circuits neurologiques bien déterminés (cf. ouvrages du Dr Tomatis), interviennent sur la vie neuro-végétative de l’individu en régulant certains processus d’ordre émotionnel par action sur le nerf vagal.

La mère et l’enfant mis, en quelque sorte, sur la même longueur d’onde, voient se rétablir des relations affectives normales qui vont permettre à l’enfant de se projeter vers le monde extérieur, celui-ci étant représenté, en premier lieu, par le père.

5) Le dialogue avec le père

  • Préparation sous oreille électronique
  • ose de la voix
  • Corriger les problèmes de mémorisation
  • Préparation au chant dans les cours audio vocaux (Entraînement aux sons osseux bouche fermée, bouche ouverte)

4) Les entreprises

Ainsi l’enfant va devoir, à partir d’une relation normale élaborée avec sa mère, rencontrer son père, non pas en tant qu’étranger, mais comme élément central de la famille.

Shmuel Haggaï 01 01 2018

TOMA_00008_La_methode_et_les_enfants.html

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